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Saturday, 22 May 2010
Thursday, 7 January 2010
Le desert
Les poemes c'est comme les larmes,
Ca ne se force pas.
Toi, le desert ,tu ne m'as inspire que la peur.
Lorsque tu nous envoyais ton vent de sable
C'etait comme la fin du monde!
Pendant de longs jours on mangeait de la poussiere,
On respirait de la poussiere,
On pleurait de la poussiere,
Parfois rouge, parfois jaune....
Grand'mere disait:"le desert a decide de rompre son silence...."
Le desert etait a deux pas de la porte!
Tout autour de nous...
Les hommes en burnous venus du desert avec leurs chameaux
Traversaient notre rue.
Et moi, j'avais peur...
La legende qu'on m'avait raccontee
Parlait de tresors perdus...
Ces hommes venus du desert, tuaient les enfants
Et dans leurs yeux y trouvaient les cartes des tresors caches...
Oui... le desert....
Tu restes partout....
Silencieux ou colereux...
Je n'ai pas besoin d'aller au Sinai pour t'y retrouver....
Je te portes en moi depuis l'aube des temps....
Les poemes c'est comme les larmes,
Ca ne se force pas.
Toi, le desert ,tu ne m'as inspire que la peur.
Lorsque tu nous envoyais ton vent de sable
C'etait comme la fin du monde!
Pendant de longs jours on mangeait de la poussiere,
On respirait de la poussiere,
On pleurait de la poussiere,
Parfois rouge, parfois jaune....
Grand'mere disait:"le desert a decide de rompre son silence...."
Le desert etait a deux pas de la porte!
Tout autour de nous...
Les hommes en burnous venus du desert avec leurs chameaux
Traversaient notre rue.
Et moi, j'avais peur...
La legende qu'on m'avait raccontee
Parlait de tresors perdus...
Ces hommes venus du desert, tuaient les enfants
Et dans leurs yeux y trouvaient les cartes des tresors caches...
Oui... le desert....
Tu restes partout....
Silencieux ou colereux...
Je n'ai pas besoin d'aller au Sinai pour t'y retrouver....
Je te portes en moi depuis l'aube des temps....
la chipeuse
ce matin encore,
je me suis promenee...
avec mes gros souliers
sur les caillous,
et dans les pres...
et comme la gamine d'antan,
sur mon chemin j'ai rencontre
la fleur sauvage qui se cachait...
et comme la gamine d'antan,
sans etre vue je l'ai cueillie...
c'etait un brin de narcisse,
dans un verre,sur notre table,
il s'est epanoui ...
et ce matin,sur notre table,
il y a quatre fleurs de narcisse chipees...
je reste encore la chipeuse de fleur inveteree.
je me suis promenee...
avec mes gros souliers
sur les caillous,
et dans les pres...
et comme la gamine d'antan,
sur mon chemin j'ai rencontre
la fleur sauvage qui se cachait...
et comme la gamine d'antan,
sans etre vue je l'ai cueillie...
c'etait un brin de narcisse,
dans un verre,sur notre table,
il s'est epanoui ...
et ce matin,sur notre table,
il y a quatre fleurs de narcisse chipees...
je reste encore la chipeuse de fleur inveteree.
Tuesday, 5 January 2010
Sunday, 3 January 2010
regrets
je regrette l'ombre bleu de l'oiseau
qui perce l'azur dans son passage,
je m'enivre de formes ephemeres...
de taches estompees,de lignes indistinctes,
souvenirs flous de la solitude triste et froide de mon enfance disparue.
petites paquerettes sur la terre ecorchees,
nuages en fuite dans une flaque d'eau sale,
je vous dois les plus beaux de mes reves
qui perce l'azur dans son passage,
je m'enivre de formes ephemeres...
de taches estompees,de lignes indistinctes,
souvenirs flous de la solitude triste et froide de mon enfance disparue.
petites paquerettes sur la terre ecorchees,
nuages en fuite dans une flaque d'eau sale,
je vous dois les plus beaux de mes reves
- les regrets de palmiers
- les reves oublies
- l'espace inerte du temps passe...
- des trous noirs, lorsque le soleil nous jette sa lumiere meutriere et spendide,
- lorsque le silence n'est interrompu que par le chant des oiseaux
- et que les branches se balancent nonchalament sur le fond bleu du ciel...
- regrets infinis
- d'une jeunesse qui aurait pu etre.
- la vie...
- ma vie.
les femmes
les secrets de femmes
murmures en arabe
les peurs de femmes chuchotees
les femmes enceintes,les fausses couches,
les precautions, les choses a moitie comprises,
recoins obscurs dans ma memoire de petite femme de huit ans...
des ombres sombres
qui brulent encore
des rien qui font si mal.
mes souvenirs...
des souvenirs de femmes,
des cris de femmes
des chansons de femmes,
des danses de femmes
des occupations de femmes,
des odeurs de femmes
des vies de femmes
des pensees de femmes.
j'ai hai toutes les femmes,
je t'ai haie, toi,la femme en moi'
pauvres femmes, belles femmes,soeurs sublimes...
comme je vous aime toutes,femmes.
murmures en arabe
les peurs de femmes chuchotees
les femmes enceintes,les fausses couches,
les precautions, les choses a moitie comprises,
recoins obscurs dans ma memoire de petite femme de huit ans...
des ombres sombres
qui brulent encore
des rien qui font si mal.
mes souvenirs...
des souvenirs de femmes,
des cris de femmes
des chansons de femmes,
des danses de femmes
des occupations de femmes,
des odeurs de femmes
des vies de femmes
des pensees de femmes.
j'ai hai toutes les femmes,
je t'ai haie, toi,la femme en moi'
pauvres femmes, belles femmes,soeurs sublimes...
comme je vous aime toutes,femmes.
etonnee
etonnee, j'essaie souvent
de comprendre le monde
ou tant d'or se confond a tant d'ombre,
je poursuis du regard le vol bleu de l'oiseau
qui fend cette ivresse de plenitude et de vide.
et je sais que demain la rosee du matin
apportera au jour qui se leve
la douceur salee de la vie.
de comprendre le monde
ou tant d'or se confond a tant d'ombre,
je poursuis du regard le vol bleu de l'oiseau
qui fend cette ivresse de plenitude et de vide.
et je sais que demain la rosee du matin
apportera au jour qui se leve
la douceur salee de la vie.
le muguet
jene connais pas le muguet comme il pousse dans les pres,
j'ai rencontre, jadis un brin de muguet desseche.
grand'mere l'avait recu dans une lettre... une lettre de paris.
je dessine le muguet.
je le dessine sur les pres, sur mes toiles et mes cahiers...
mon muguet est parfois blanc, parfois rose,
souvent il est aussi vert ou bleu.
dans mon enfance solitaire, j'etais tombee amoureuse
d'un brin de muguet desseche.
j'ai rencontre, jadis un brin de muguet desseche.
grand'mere l'avait recu dans une lettre... une lettre de paris.
je dessine le muguet.
je le dessine sur les pres, sur mes toiles et mes cahiers...
mon muguet est parfois blanc, parfois rose,
souvent il est aussi vert ou bleu.
dans mon enfance solitaire, j'etais tombee amoureuse
d'un brin de muguet desseche.
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